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Author: Laura H

L’Echec: l’ennemi de l’entrepreneur?

L'Echec: l'ennemi de l'entrepreneur?

Comment l'acceptation des échecs a transformé mon aventure d’entrepreneure

En me lançant dans l’aventure de l’entrepreneuriat et en empruntant les chemins complexes du développement personnel, l’échec a été mon compagnon inattendu mais inestimable, qui m’a permis de devenir la femme que je suis aujourd’hui. Loin d’être dissuasif, chaque échec a été une force de transformation, me propulsant vers une existence plus intentionnelle et plus autonome.

En tant que femme chef d’entreprise, les épreuves et les tribulations du monde professionnel ont non seulement affiné ma perspicacité professionnelle, mais ont également contribué à faire tomber les barrières sociétales. De même, sur le plan personnel, les leçons tirées des moments d’adversité m’ont guidée vers une meilleure compréhension de ma propre résilience, de mon estime de soi et des choix intentionnels qui définissent la femme que je suis devenue. L’échec, plutôt qu’un obstacle, a été la pierre angulaire de mon évolution, façonnant un récit de force, d’authenticité et de raison d’être.

Laisse-moi t’emmener en voyage dans le passé, pas si lointain, à un moment où l’échec était mon pire ennemi. À l’époque, la simple idée d’échouer me donnait des frissons et je faisais tout pour l’éviter. J’étais loin de me douter que cette peur me privait d’un monde de croissance et de découverte de soi.

Les premières luttes

Dans les premiers chapitres de ma vie, l’échec était mon ennemi juré. Malgré des activités sportives de compétition, il semblait que la chance était avec moi, car je n’ai pas vraiment connu d’échec sportifs! Cependant, en grandissant il est vrai que les enjeux ne sont pas les mêmes, et j’ai découvert la dure réalité de la vie!

Les conséquences de chaque faux pas qui j’ai commis, étaient ressenties comme un coup dur, une atteinte à ma confiance en moi qui me faisait douter de ma valeur. Mais j’avais tellement peur de cet échec, que j’évitais les situations qui pouvaient me conduire à l’échec!

C’est vrai que je jouais la carte de la sécurité, m’en tenant à ce que je savais, ignorant superbement que cette peur entravait mon véritable potentiel. J’avais choisi un métier qui me donnait une sécurité de l’emploi, un salaire fixe, une routine … bref, un petit train train qui m’allait bien. 

Jusqu’au jour où mon train & déraillé et j’ai appris qu’avec l’échec je ne devais pas rester sur cette sensation de difficulté, de peur et de honte.

Un changement de perspective

Ce n’est que lorsque la vie m’a fait prendre une autre direction que j’ai commencé à voir l’échec sous un nouvel angle. J’ai découvert que l’échec n’était pas la fin de la route, mais un arrêt sur le chemin de la réussite. C’est un catalyseur de croissance, un pédagogue déguisé.

Mon choix d’enseigner, transmettre ce que je savais, n’allait pas être le mauvais choix. Au contraire, j’adorais, et j’aime toujours mon métier. Ce qui allait changer la donne, c’était un échec – mais pas professionnel. Un échec personnel, qui allait m’emmener vers des contrées bien lointaines. Me voilà partie loin de mes repères, loin de ma routine, loin de tout ce que j’aimais et connaissais. Au final, ce premier échec allait me donner une première clé pour naviguer dans un monde qui me faisait peur. Et cette clé c’était la résilience.

La révélation de la résilience

L’échec a le don incroyable de te forcer à t’endurcir. Ce premier échec personnel, m’a un peu anéanti, mais il n’allait pas être mon premier, ni bien évidemment le dernier! Plus je subissais d’échecs, plus je devenais persévérante – un peu comme un enfant qui tombe en apprenant à marcher. J’ai appris à surmonter les tempêtes, à me relever et à faire face au prochain défi. L’échec est devenu mon arme secrète, renforçant ma détermination à chaque épreuve.

C’est un peu comme un corps meurtri après l’avoir fait souffrir pendant un marathon! On apprend à notre corps de s’endurcir, de persévérer, de continuer, malgré la douleur, les crampes, les ampoules …

On se dit que coûte que coûte, je dois terminer ce foutu marathon, parce que mon corps a tellement subi, que ce serait complètement débile d’arrêter maintenant. 

Les échecs que j’ai connu m’ont fait découvrir que je suis forte, je peux réussir après être tombée. Je peux me servir de ces échecs comme un tremplin vers autre chose. Quelque chose de différent, mais peut-être bien meilleur et adapté à ce que j’ai besoin.

Et c’est exactement ce qui s’est passé. J’ai découvert tout un autre aspect de l’enseignement, tout un autre domaine auquel je n’avais pas vraiment pensé, car j’étais bien dans ma bulle. En d’autres termes, je me complaisais dans ce que je connaissais et comme il n’y avait pas de problèmes, j’avançais gentiment dans la vie.

Mais grâce à ce premier “gros” échec perso et bien je me suis trouvée dans une impasse et afin d’en sortir j’ai dû trouver un autre chemin.

Les leçons du labyrinthe

Chaque échec qui a suivi, s’est transformé en une leçon à apprendre. J’ai adopté un growth mindset, considérant les erreurs non pas comme des signes de faiblesse, mais comme des tremplins vers l’amélioration. J’ai commencé à analyser les tours et les détours, à comprendre le pourquoi et le comment, et à prendre des notes mentales pour la prochaine étape du voyage.

Ce premier gros échec personnel m’a aidé à y voir plus clair sur mes capacités de rebondir. J’étais en fait douée pour me remettre en question, trouver des solutions et aller de l’avant!

Cela n’a évidemment pas été facile, ni de tout repos, tous les jours. Je ne veux pas vous vendre du rêve hein! Le chemin, après un échec est long et il est surtout rempli de nids de poules, qui surgissent quand tu ne t’y attends pas.

Mais ce sont ces nids de poules sur ta route, qui te font comprendre que la vie n’est pas linéaire et que malgré une chute, tu te relèves et tu peux réussir. Peut-être pas de la manière dont tu pensais y arriver, mais d’une autre façon. Et ça c’est carrément ok! Une façon parfois plus libératrice et créative que tu pouvais jamais imaginer.

La créativité libérée

Certaines des plus belles histoires de l’innovation sont écrites à l’encre de l’échec. Pensez à des inventeurs comme Thomas Edison, dont les innombrables tentatives ont ouvert la voie à l’ampoule électrique. J’ai découvert que l’acceptation de l’échec stimule la créativité et alimente l’innovation. Cela m’a poussé à sortir des sentiers battus, à explorer des territoires inexplorés.

Cet échec personnel m’a permis de vivre à l’étranger, trouver une autre manière de faire ce que j’aimais. Mais aussi de trouver d’autres passions qui étaient là, enfouies, et que je n’aurais peut-être jamais découvertes si je n’avait pas subi cet échec (et bien d’autres après!).

Mon métier d’enseignante, j’allais pouvoir l’exercer ailleurs, et d’une autre manière. Mon échec, celui qui m’a fallu plusieurs mois à digérer et ensuite accepter m’a permis de vivre à l’étranger, rencontrer pleins d’autres belles personnes dans ma vie,  il m’a permis de voir que je n’étais pas vraiment faite pour “être dans le moule”, mais surtout, il m’a donné l’envie de créer ma première entreprise quand j’avais 22 ans.

Cela ne veut pas dire que les gens qui ont besoin de ce que j’avais avant, c’est-à-dire un salaire fixe, une vie bien rangée, un train-train, est mal. Bien au contraire. Je comprends et j’admire les personnes qui sont heureuses comme ça. 

Sauf que pour moi, ma vie – je ne la vois plus comme ça. Et tout cela, grâce à mon échec.

L’échec de ma deuxième création d’entreprise m’a aussi pris du temps à avaler, comprendre et surtout accepter. Mais comme les autres revers dans ma vie, je sais que je vais me surpasser. En fait, je suis prête à croire que je peux recommencer et trouver, encore une fois, une autre manière d’utiliser cet échec comme tremplin pour autre chose. 

Redéfinir le succés

Lorsque j’ai abandonné la peur de l’échec, le succès s’est transformé d’une destination rigide en un voyage dynamique. Il ne s’agissait plus de la note parfaite, mais de l’aventure, de la croissance et des chapitres toujours renouvelés de la découverte de soi. La pression a disparu et, à sa place, l’enthousiasme pour ce que chaque échec pouvait m’apprendre.

Car il y en a eu bien d’autres des échecs. Petits et grands!

Après avoir traversé des moments difficiles, tant dans mon parcours professionnel que dans ma vie personnelle, j’ai consciemment décidé de redéfinir ce que le succès signifiait pour moi. Les marqueurs traditionnels de la réussite – gravir les échelons de la carrière sans faute ou peindre un tableau parfait dans la vie personnelle – ont perdu leur emprise sur mes objectifs.

J’ai commencé à voir le succès dans les imperfections et la capacité à rebondir. Les échecs professionnels sont devenus des tournants inattendus qui m’ont conduit sur des voies nouvelles et étonnamment épanouissantes. Il ne s’agissait plus d’éviter l’échec, mais de s’imprégner des leçons que chaque faux pas apportait. Le succès est passé de la simple ascension d’une échelle d’entreprise à l’appréciation de chaque étape et de la vue depuis chaque échelon.

Sur le plan personnel, les échecs que j’ai rencontrés m’ont incité à mener une vie plus intentionnelle et plus authentique. Pour réussir dans mes relations, il ne s’agissait pas d’esquiver les conflits, mais de les affronter avec empathie et compréhension. J’ai commencé à mesurer le succès en fonction de la profondeur des liens, de la force de surmonter les tempêtes ensemble et des victoires partagées. Les cicatrices des échecs personnels sont devenues comme des insignes d’honneur, symboles d’un voyage vers une meilleure connaissance de soi et une meilleure compréhension des émotions. Dans ce changement personnel, le succès n’était pas une destination fixe, mais un processus continu et intentionnel – un engagement à évoluer vers la version la plus authentique de moi-même.

Conclusion

Il s’avère que l’échec n’est pas l’ennemi que j’ai cru auparavant. C’est un ami, un guide sur les montagnes russes de la vie. Il nous met au défi, nous teste et, en fin de compte, nous propulse vers l’avant. Alors, la prochaine fois que l’échec frappera à ta porte, invite-le à entrer. Tire-en des leçons, accueille-le et laisse-le être le vent sous tes ailes dans cette aventure que l’on appelle la vie.

Dans la mosaïque complexe de la vie de chaque femme, l’échec n’est pas un défaut, mais un fil essentiel tiré de l’étoffe de la croissance et de la résilience. Mon parcours, tant professionnel que personnel, a été profondément façonné par les revers de fortune. L’échec, autrefois redouté et évité, est aujourd’hui un compagnon cher, un guide qui m’oriente vers une existence plus intentionnelle et plus autonome.

Dans le domaine professionnel, chaque faux pas est devenu un moment crucial de découverte de soi et d’affinement des compétences. Il m’a poussée à remettre en question les stéréotypes, à briser les plafonds de verre et à redéfinir le succès selon mes propres termes. Les leçons tirées des échecs ont été le fondement de mon évolution professionnelle, transformant les échecs en tremplins vers une évolution de carrière plus significative et plus riche d’impact.

Sur le plan personnel, la traversée des échecs a été un voyage transformateur vers l’amour de soi et l’authenticité. Chaque revers personnel est devenu une occasion d’introspection qui m’a permis de mieux comprendre ma propre force et ma résilience. Cela m’a permis de devenir une femme qui n’a pas peur des imperfections et qui considère la vulnérabilité comme une source de puissance.

Dans la grande symphonie de la vie, l’échec n’est pas une note discordante, mais une mélodie qui s’harmonise avec le succès. J’ai appris que chaque échec est une chance de se relever, plus forte et plus sage qu’avant. Alors que je poursuis ce chemin intentionnel, l’échec n’est pas un obstacle mais un point de repère qui me permet de devenir une femme qui relève les défis avec grâce, courage et une foi inébranlable en sa propre valeur.

Comment Tu Peux Apprendre à Exploiter Pleinement Ton Potentiel

Comment Tu Peux Apprendre à Exploiter Pleinement Ton Potentiel

La vie peut nous réserver de sérieuses surprises, et le mode “en survie” devient la priorité. C’est comme si on nous distribuait une main, et on a parfois l’impression que les choix sont limités. Mais laisse-moi te dire que même dans les moments difficiles, il y a moyen de se frayer un chemin jusqu’à son potentiel.

Je comprends que ce soit difficile. Si, si, je le sais car parfois je doute toujours de moi et de mes compétences ! On peut avoir l’impression que ses choix sont limités. Mais voilà : on a toutes quelque chose, une étincelle qui ne demande qu’à s’allumer. Le défi consiste à libérer ce potentiel au milieu de l’agitation quotidienne.

Il s’agit de faire des efforts supplémentaires, de repousser ses limites et de ne pas se contenter du status quo. Bien sûr, ce n’est pas toujours évident. Il s’agit plutôt d’un marathon semé d’embûches. Mais tu sais quoi ? Tu es résiliente.

Et après mon échec professionnel, et bien j’ai découvert que je l’étais aussi! J’ai eu le courage d’affronter tout ce qui se présentait à moi. Il s’agissait de reconnaître les obstacles, mais de ne pas les laisser dicter ma voie.

Même lorsque les choix semblaient limités, il y avait de la place pour des mouvements stratégiques. C’était comme un jeu d’échecs ; je n’avais peut-être pas le contrôle de toutes les pièces, mais je pouvais très bien contrôler mes mouvements. Il s’agissait de trouver ces zones d’opportunités et d’en tirer le meilleur parti.

C’est clair que a survie était la clé – je devais quand même continuer à payer mes factures! Mais l’épanouissement l’était aussi. Il ne s’agissait pas d’une situation du genre, c’est soit je bouge mes fesses en faisant quelque chose qui m’anime, soit je ne fais rien et je m’embourbe encore plus.

Je voyais ces moments compliqués, comme une danse dynamique entre la satisfaction des besoins et la poursuite de mes aspirations. C’était un travail difficile, mais c’était un travail intentionnel.

J’ai donc creusé profondément, reconnu les contraintes, mais je ne les ai pas laissées me définir. Mon potentiel était là, attendant que je le saisisse. Il s’agissait de relever les défis avec détermination et de tracer une voie vers ce dont j’étais vraiment capable.

Voici quelques points importants, que j’ai retenu en me découvrant moi, ainsi que ce dont j’étais vraiment capable.

Je sais qu’ils pourront te servir si tu es dans la même situation que moi il y a encore pas si longtemps que ça!

Tip 1

Apprends à te connaître

J’ai trouvé que la connaissance de soi était cruciale. Souvent, je n’avais pas conscience de l’impact que j’avais sur la vie des autres – je pouvais les inspirer, les démoraliser, les blesser ou les soutenir par mes actions. Lorsque je ne me comprenais pas moi-même, je créais des situations qui sabotaient mes chances dans la vie.

Je travaille avec des gens tous les jours. Donc, il était primordial de comprendre que mes interactions et la manière que je me présentais étaient essentielles à ma capacité d’interagir de manière positive avec les gens. 

En apprenant à me connaître, j’ai commencé à comprendre qui j’étais, quelles étaient mes motivations et, en fin de compte, de quoi j’étais capable. En prenant conscience de moi-même, je me suis rendue compte des peurs cachées qui m’empêchaient d’avancer. J’ai découvert que la seule chose qui me séparait du progrès était de la confiance en moi et de la motivation.

Tip 2

Identifie tes forces et tes faiblesses

Connaître mes forces et mes faiblesses était primordial. Faire le point sur mes attributs a eu de nombreux avantages et a eu un impact significatif sur mon potentiel de vie, notamment :

  • Comprendre les autres : Lorsque j’ai compris mes propres forces et faiblesses, j’ai pu faire preuve de plus d’empathie à l’égard des autres. Cela m’a permis de nouer des relations plus facilement, tant sur le plan professionnel que personnel.
  • Me recentrer sur mes objectifs : Connaître mes faiblesses m’a permis de comprendre les domaines sur lesquels je devais travailler. Cela a également mis en évidence les armes dont je dispos is grâce à mes points forts, ce qui m’a donné une feuille de route pour prospérer.
  • Me permettre de m’apprécier : La présentation de mes points forts m’a surpris par ce dont j’étais capable. Cela m’a permis de mieux apprécier mon véritable potentiel.

Il était important de prendre le temps de dresser une liste exhaustive de mes forces et de mes faiblesses. C’était horrible!

L’honnêteté brutale était la clé de cet exercice, tout comme le fait de comprendre qu’il n’y a pas lieu d’avoir honte de ses faiblesses. On peut travailler sur une faiblesse pour en faire une force ou la contourner d’une manière ou d’une autre.

Tip 3

Identifie ce que tu veux vraiment réaliser (pose-toi les bonnes questions)

Une fois que j’ai su de quoi je disposais en termes de compétences et d’aptitudes, j’ai commencé à décider où mon potentiel pouvait me mener. J’ai identifié un objectif ultime, une évolution de ma carrière ou de mon entreprise. Je me suis fixée plusieurs petits objectifs qui me mèneraient à mon but ultime. J’ai fait en sorte que ces objectifs soient réalisables, de sorte qu’au fur et à mesure que je les atteignais, j’étais inspirée et je gagnais en confiance pour l’étape suivante.

Tip 4

Pense comme une BOSS

Il ne faut pas se leurrer hein, seul mon potentiel ne me permettait pas d’aller bien loin ; le travail assidu devait faire partie du parcours.

Après avoir identifié mes objectifs, j’ai planifié clairement mon projet. Je savais qu’en courant aveuglément, je risquais de me retrouver dans la mauvaise direction, ce qui ralentirait mon élan, ou pire me remettrai sur le même chemin que mon échec!

J’ai compris ce dont j’avais besoin pour atteindre mon potentiel et j’ai planifié la meilleure façon de l’obtenir. Dans certains cas, j’avais aussi des plans de secours, car la vie n’est pas toujours parfaite.

Bref, j’ai commencé à craiment me mettre dans la peau d’une cheffe d’entreprise et de penser comme une Boss!

Tip 5

Regarde tes peurs en face et n’aies pas peur de les affronter

Mes peurs pouvaient parfois m’empêcher de vivre pleinement ma vie. Combien de fois j’ai regardé ma petite fille qui dormait paisiblement dans son lit le soir et que la peur d’échouer de nouveau me faisait presque perdre pied?

Mon anxiété s’est invitée de nombreuses fois dans mes nuits blanches!

Mais, j’ai aussi  découvert que lorsque j’avais du mal à m’accorder du mérite ou que j’avais l’impression de ne pas être capable, il m’était difficile de vivre à la hauteur de mon potentiel.

Essayer peut être effrayant, mais pour réaliser mon projet, je devais faire face à mes doutes et essayer quand même.

Essayer de renaître de mes cendres me paralysait parfois, mais ce qui me faisait avancer c’était cette même peur! Le sentiment de vraiment avoir échouer, si je n’avais jamais (re)essayer de faire quelque chose qui m’animait et me passionnait! 

Conclusion

En réfléchissant à mon parcours pour apprendre à exploiter pleinement mon potentiel, je suis frappée par le pouvoir de transformation de la connaissance de soi et de l’action intentionnelle. La découverte de mes forces et de mes faiblesses est devenue la boussole qui m’a guidé vers mes objectifs. La fixation de petites étapes réalisables s’est avérée être le tremplin qui a alimenté ma confiance et mon inspiration pour une vue d’ensemble.

J’ai compris que le potentiel seul n’est qu’un point de départ ; le travail acharné est le moteur qui me propulse vers l’avant. Planifier mon chemin avec clarté et prévoyance, en reconnaissant que des revers peuvent survenir, m’a permis de naviguer dans les méandres de cette aventure.

Affronter de front mes peurs et mes doutes a changé la donne. Cela a nécessité un acte de foi, mais ce faisant, j’ai repris le contrôle de mon récit. Apprendre à m’accorder du crédit et à reconnaître mes capacités m’a ouvert des portes dont je ne soupçonnais pas l’existence.

Me voici donc, non seulement à la poursuite de mes rêves, mais en train de les vivre. Le voyage vers la réalisation de mon plein potentiel est en cours, mais à chaque pas intentionnel, je crée un récit de résilience, de croissance et de confiance en soi inébranlable. Et tandis que je continue à apprendre, à évoluer et à embrasser l’inconnu, je savoure chaque instant de cette expédition stimulante vers le meilleur de moi-même. Après tout, la poursuite du potentiel n’est pas seulement une destination ; c’est un voyage continu et intentionnel de découverte de soi et d’épanouissement.

J’adorerai savoir où vous en êtes dans votre propre cheminement. N’hésitez pas à laisser un commentaire ou m’envoyer un mail.

Comment Tu Peux Dire Stop aux Limites que tu T’imposes!

Comment j'ai dit Stop aux Limites que je M'imposais et Comment Tu Peux Faire Pareil

Laisse-moi te partager une histoire sur les limites les plus difficiles à surmonter, une histoire qui n’était pas liée à des forces extérieures, mais à celles que je créais à l’intérieur de moi-même. Imagine-moi, naviguant dans un récit façonné par des limites involontaires que je me suis moi-même imposées. Ces limites, nées de pensées déformées, de l’ombre des pensées négatives et des échos du doute, sont devenues les défis de ma propre saga.

Maintenant, entre en scène l’héroïne intentionnelle, c’est-à-dire moi, armée de la sagesse que, quelle que soit l’origine de ces limites, je pouvais les surmonter. C’était mon voyage à la découverte de moi-même, un récit de mes choix intentionnels. J’ai embrassé le pouvoir qui était en moi et me suis lancée dans une quête visant à éliminer les contraintes que je me suis infligées.

C’est ainsi que mon histoire s’est déroulée, il y a plusieurs années et que j’ai réussi à sortir de cette impasse de stagnation !

Je te livre cinq conseils réfléchis, chacun étant un chapitre de mon voyage de transformation.En démêlant consciemment les distorsions de ma pensée et en cultivant intentionnellement un mindset positif, j’ai franchi les étapes de mon récit, réécrivant mon histoire d’autolimitation pour en faire une histoire de possibilités illimitées.

Dans ce scénario plein d’intention, je ne me suis pas contentée d’affronter les limitations ; je les ai démantelées, ouvrant ainsi la voie à un récit riche de confiance en moi et d’objectifs.

À quel point cette histoire de dépassement des limites que je me suis imposées est-elle aussi la tienne ?

Tip 1

Une initiation puissante à la libération de soi : J’ai explusé mon juge intérieur

Visualise ça : au fond de moi résidait un juge intérieur, une voix qui critiquait chacune de mes actions, soulignant ce que j’avais fait de mal, ce qui aurait pu être fait différemment, et projetant l’ombre d’un échec potentiel. Si certains considéraient la critique de soi comme un outil de développement, la vérité était qu’elle devenait souvent un obstacle à mon épanouissement.

En réalité, l’auto-jugement ne stimulait pas le changement positif ; il créait un effet contre-productif. Au lieu de me sentir poussée à m’améliorer, il me laissait dans un état d’auto-réflexion qui renforçait les limites au lieu de les briser.

Mon voyage intentionnel a donc commencé par la reconnaissance de ce juge intérieur. Lorsque cette voix critique entamait son monologue incessant, il était essentiel que je choisisse consciemment de ne pas me laisser influencer. Imagine un marteau se balançant vers le bas ; je me rappelais de l’ignorer et d’aller de l’avant. Cet acte intentionnel est devenu une déclaration d’autonomie, ouvrant la voie à un récit libéré des entraves des limites que je m’imposais.

Tip 2

J’ai remplacé mes “et si” par “ce que je peux faire”

Pendant de nombreuses années, je rêvassais, laissant mon esprit danser avec les possibilités que la vie pouvait m’offrir. Quel magnifique exercice de visualisation ! C’était un espace où mes objectifs les plus ambitieux et mon potentiel prenaient forme. Je n’ai pas laissé ces rêves rester suspendus dans les nuages de la fantaisie. Il était temps de les ancrer dans la réalité.

Ainsi, quand je me surprenais à me demander “et si”, je réorientais intentionnellement ma pensée. Je posais une question qui faisait le lien entre le rêve et l’action : “Que puis-je faire aujourd’hui pour me rapprocher de mon rêve ou de mon objectif ?” Cette réorientation intentionnelle faisait passer mes visions des paysages féeriques du monde imaginaire au domaine tangible de la réalité.

Ce n’était pas seulement une question de rêver, c’était de transformer intentionnellement ces rêves en actions concrètes. Cet état d’esprit intentionnel est devenu la boussole qui me guidait vers la réalisation de mes aspirations.

J’ai pris la décision de me mettre à mon compte et d’offrir mes services à des entreprises qui avait besoin de formation linguistiques. Cela a était le début de ma carrière en France.

Tip 3

J’ai accepté de demander de l’aide

Alors, je t’explique un truc. Demander de l’aide n’est en aucun cas un signe de faiblesse. Au contraire, c’est une manifestation de courage, de sagesse et de maturité. Reconnaître ses propres limites et avoir la volonté de solliciter l’aide d’autrui démontre une force intérieure et une ouverture d’esprit.

Personne ne détient toutes les réponses ni ne possède toutes les compétences. Demander de l’aide est un moyen d’exploiter la richesse des connaissances et des expériences collectives. C’est un acte d’humilité qui témoigne de la compréhension que la croissance personnelle et professionnelle est un voyage partagé.

Mais ça, je l’ai compris tard… Mais demander de l’aide ou des conseils, est une voie vers la croissance et la réalisation. Les bonnes choses arrivent vraiment à celles qui ont le courage de demander ce dont elles ont besoin ou de demander des conseils.

Je croyais, parfois à tort, que demander de l’aide était un signe de vulnérabilité. En réalité, c’était un pas courageux vers mes objectifs et mes désirs les plus importants.

Lorsque je tendais la main, en particulier à quelqu’un qui avait des connaissances, j’ouvrais la porte à une mine d’informations et d’opportunités. C’était un acte intentionnel qui permettait de dépasser les limites que je m’imposais, de créer un espace d’apprentissage et d’encourager la croissance.

Alors, j’ai fait en sorte que poser des questions soit un choix délibéré d’élargir mes connaissances, d’entrer en contact avec d’autres personnes et de me rapprocher de mes objectifs. J’ai évité de perdre du temps bêtement dans des tâches qui me paraissaient compliquées, mais hyper faciles pour d’autres.

C’est vrai que je me sentais super gênée de demander des conseils, sur des sujets qui me semblaient tellement ridicules, mais les personnes bienveillantes (car oui, tu trouveras des peaux de vaches sur ton chemin !) m’ont toujours mises à l’aise et m’ont beaucoup aidé !

Parfois, j’oubliai, de par mon métier, que je ne suis pas obligée tout savoir tout de suite, et qu’il y a des personnes mieux qualifiées, et formées pour m’aider.

Tip 4

J’ai appris l’art de poser beaucoup de questions

Donc, poser des questions n’était pas seulement une question de curiosité ; c’était une démarche stratégique visant à démanteler les limites que je m’étais imposées. Au lieu de rester dans l’ombre, j’ai pris la parole et posé des questions.

Forbes souligne le pouvoir des questions : elles sont la clé pour comprendre le monde, déchiffrer le fonctionnement des choses et déterminer comment on peut y contribuer.

Lorsque je posais des questions, il ne s’agissait pas d’informations aléatoires, mais de renseignements précieux qui me permettaient non seulement d’approfondir ma compréhension de ce qui m’entourait, mais aussi de me positionner en tant que participante active dans l’histoire qui se déroulait – MON histoire d’entrepreneure !

Plutôt que de laisser les limites que je me fixais me tenir à l’écart, poser des questions était devenu un moyen intentionnel d’élargir mes connaissances et de favoriser mon épanouissement personnel.

Alors, j’ai fait en sorte que le questionnement devienne intentionnel. Il ne s’agissait pas seulement de chercher des réponses ; il s’agissait de m’engager activement dans le monde, d’acquérir des connaissances et d’ouvrir la voie à ma propre croissance.

Tip 5

J’ai approfondi ma compréhension de ce que je désirais vraiment dans ma vie

Élaborer des rêves et des objectifs précis peut donner l’impression de naviguer dans un labyrinthe de possibilités infinies. L’éventail des possibilités peut même susciter un sentiment d’accablement, ce qui conduit certaines personnes à imposer instinctivement des limites pour se prémunir contre un échec potentiel.

J’ai consacré du temps à comprendre véritablement ce que je désirais dans la vie. Au cours de cette exploration intentionnelle, le brouillard de l’incertitude et de la peur a commencé à se dissiper. En ayant une vision claire de mes aspirations, je n’ai pas seulement atténué le sentiment d’accablement, mais je me suis aussi donné les moyens d’envisager le chemin à parcourir pour atteindre ces objectifs spécifiques.

Il ne s’agissait pas seulement de se fixer des objectifs, mais de définir intentionnellement mon chemin. Cette compréhension réfléchie est devenue la boussole qui m’a guidé vers un avenir conforme à mes désirs les plus profonds.

Conclusion

En conclusion, cultiver intentionnellement un mindset de développement revient à cultiver en soi un jardin rare et inestimable. Il s’agit de faire des choix délibérés – reconnaître et apprécier le mélange unique de forces et de faiblesses, choisir un langage positif qui vous propulse vers l’avant, donner la priorité à l’acceptation de soi plutôt qu’à la validation externe, reconnaître la valeur profonde de chaque étape du voyage et se concentrer sur les résultats plutôt que sur la vitesse éphémère.

Ce voyage intentionnel ne concerne pas seulement le développement personnel ; il s’agit de créer un état d’esprit qui façonne toutes les facettes de ta vie. C’est la boussole qui te guide à travers les défis, la lentille à travers laquelle tu vois le succès et l’ancre qui t’enracine dans un cycle continu d’apprentissage et de croissance. L’état d’esprit de croissance intentionnelle devient ton allié dans la poursuite d’une vie épanouissante et motivée – où les défis sont relevés, la conscience de soi encouragée et le voyage lui-même devient la destination ultime.

Alors, choisis l’intentionnalité. Il est temps de cultiver un état d’esprit qui te permet non seulement d’atteindre tes objectifs, mais aussi d’enrichir l’essence même de ton être. Après tout, il ne s’agit pas seulement de ce que nous atteignons ; il s’agit de ce que nous devenons tout au long du chemin intentionnel de la croissance.

Les 5 Meilleurs Conseils pour Favoriser un Mindset de Développement

Les 5 Meilleurs Conseils pour Favoriser un Mindset de Développement

Imagine que tu vis dans le monde du développement personnel et que tu côtoies un groupe d’individus qui détiennent une clé spéciale pour libérer leur potentiel : l’état d’esprit de croissance. Pour eux, il ne s’agissait pas seulement d’une croyance, mais d’une décision consciente, d’un engagement dans un parcours intentionnel d’amélioration de soi.

Dans cette histoire, nos protagonistes, armés de la conviction qu’ils pouvaient constamment s’améliorer, se sont lancés dans une quête alimentée par un travail acharné, des stratégies astucieuses et une attitude accueillante à l’égard des critiques constructives. C’est comme s’ils avaient une feuille de route pour une aventure d’apprentissage et de développement tout au long de la vie.

Ce qui a rendu leur parcours vraiment captivant, c’est le choix délibéré qu’ils ont fait d’éviter toute complaisance. Au lieu de s’installer dans le confort de ce qui leur est familier, ils ont été les architectes de leur progression, cherchant toujours des moyens d’affiner et d’améliorer leurs compétences. Il ne s’agissait pas de rester immobile, mais d’évoluer et de prospérer intentionnellement.

Et c’est là que se trouve la magie : cultiver un mindset de développement n’était pas une compétence insaisissable réservée à quelques privilégiés. Il s’agissait d’un acte délibéré, d’une plantation de graines pour un moi futur qui continuait à se déployer et à surprendre à chaque pas intentionnel.

Ainsi, dans la quête du développement personnel, ces personnes sont devenues les auteurs de leurs propres récits, en élaborant des histoires de volonté, d’intention et d’une vie aux possibilités toujours plus étendues.

Est-ce que tu veux être le personnage principal de cette histoire ?

Voici 5 tips afin d’y arriver.

Tip 1

Je prends le temps de m’apprécier à ma juste valeur, de reconnaître mes forces, d’affronter mes faiblesses et d’accepter l’intégralité de ce que je suis.

Une personne qui a un mindset de développement comprend l’équilibre délicat entre les forces et les faiblesses. C’est comme si tu te rendais compte que, sans cet équilibre, il n’y a pas d’incitation à la croissance et à l’évolution. Imagine un monde où nous aurions tous des forces infinies et aucune possibilité d’amélioration – cela semble un peu statique, non ?

Reconnais et apprécie chaque facette de toi-même. Comprend que les forces et les faiblesses font partie du tissu de la vie. Il ne s’agit pas d’atteindre la perfection, mais de reconnaître le mélange unique qui fait de toi, eh bien, quelqu’un. Et la vraie magie ? Il ne s’agit pas seulement de reconnaître, mais aussi de travailler activement à l’amélioration de ces points faibles.

En fait, il s’agit d’un acte délibéré d’amour de soi et d’amélioration de soi, d’une étape intentionnelle vers le développement d’un mindset de développement. Tu ne te contentes pas d’exister, tu t’épanouies, tu évolues et tu deviens la meilleure version de toi-même. 

Tip 2

Je suis attentive au langage que je choisi, surtout lorsqu’il s’agit de me parler à moi-même.

La façon dont tu te parles à toi-même a un pouvoir immense. Si ce dialogue intérieur est constamment rempli de doutes, d’autocritiques et de critiques à l’égard de tes propres pensées, il n’est pas facile de favoriser un mindset de développement (état d’esprit de croissance). Toute cette négativité peut obscurcir la vision des récompenses potentielles qui découlent de l’effort de croissance.

C’est ici que l’intentionnalité entre en jeu : Choisis des mots qui t’aident à améliorer ton niveau de vie. Au lieu de t’attarder sur des pensées peu productives et négatives telles que “Je n’arrive pas à croire que j’ai fait quelque chose d’aussi stupide”, change intentionnellement de point de vue. Reconnais l’erreur avec une tournure positive, par exemple : “J’ai fait une erreur, mais maintenant je sais ce qu’il ne faut pas faire”.

Il ne s’agit pas seulement de changer les mots ; il s’agit de changer toute l’histoire que tu as avec toi-même. Il s’agit d’une décision consciente de remplacer le doute par la conscience de soi, la négativité par une réflexion constructive. Ce changement intentionnel de langage devient la pierre angulaire d’un état d’esprit de croissance, où l’on ne se contente pas de se parler à soi-même, mais où l’on nourrit un dialogue qui nous propulse vers l’avant.

Tip 3

Je choisi avant tout de m’accepter moi-même.

L’acceptation de soi n’est pas une simple case à cocher ; c’est le fondement d’un mindset évolutif : Imagine ceci : lorsque tu t’investis trop dans ce que les autres pensent de tes objectifs, de ta vie ou de tes choix, tu t’empêches de penser d’une manière qui favorise la croissance et le développement.

Bien sûr, les critiques constructives sont comme de l’or pour le développement personnel, mais la clé ici est la différenciation. Toutes les opinions, surtout si elles sont malveillantes ou négatives, ne contribuent pas à ton état d’esprit de croissance. Voici donc le choix intentionnel à faire : privilégier l’acceptation de soi à l’acceptation des autres.

Il s’agit de prendre des décisions qui correspondent à ce que tu es et à ce que tu veux faire. Il ne s’agit pas de rejeter les commentaires, mais de les filtrer, en choisissant ce qui ajoute réellement de la valeur à ton développement. Créer intentionnellement un espace où tes choix, tes objectifs et ta vie s’alignent sur ta propre acceptation, c’est comme construire une forteresse pour ton mindset de croissance. Il ne s’agit pas de rechercher la validation ; il s’agit de choisir intentionnellement la voie qui résonne avec ton vrai moi.

Tip 4

J’apprécie l’immense valeur du processus.

Bien sûr, atteindre la destination est exaltant, mais le véritable intérêt réside dans le voyage que tu as entrepris pour y parvenir. Imaginons que tu t’investis à fond, que tu t’efforces de grandir et de t’améliorer, et que tu atteignes enfin ton objectif final. La victoire est au rendez-vous, pas vrai ?

Mais voici le tournant intentionnel : Reconnais que le cœur de tes efforts ne réside pas seulement dans l’atteinte de l’objectif, mais aussi dans chaque étape du cheminement. La sueur, les défis et les leçons apprises en cours de route constituent l’or véritable. Il s’agit de reconnaître consciemment que le voyage lui-même est un élément crucial pour cultiver un mindset évolutif.

Il ne s’agit pas seulement de la destination ; il s’agit d’embrasser intentionnellement l’ensemble du processus. Ces moments de lutte, les obstacles que tu as surmontés et les leçons qui t’ont façonnée sont les éléments constitutifs de ton état d’esprit de croissance. Alors, profites intentionnellement du voyage, en savourant chaque étape, parce que c’est là que la vraie magie se produit.

Tip 5

Je privilégie les résultats plutôt que la vitesse.

Imagine la situation suivante : si tout se mettait parfaitement en place du premier coup, la vie serait un jeu d’enfant. Mais avoue-le, vivre dans un monde de perfection perpétuelle est plus un rêve qu’une réalité. La maîtrise, qu’il s’agisse d’une compétence ou d’un résultat parfait, prend souvent du temps.

Ne te focalise plus sur la précipitation, mais sur les résultats, voilà le choix intentionnel. Une personne ayant un mindset de croissance comprend que la véritable valeur réside dans les changements qui se produisent au fil du temps – le résultat d’un travail acharné, d’essais et d’erreurs, et des leçons inestimables apprises en cours de route.

Ce n’est pas une question de rapidité, mais de processus intentionnel d’apprentissage et de croissance. Faire quelque chose rapidement peut sembler être une victoire, mais la vraie victoire réside dans ce que l’on retire de l’expérience. Adopte le parcours intentionnel d’apprentissage et d’évolution, car, en fin de compte, ce n’est pas la vitesse qui compte, c’est la profondeur de ta compréhension intentionnelle.

Conclusion

En conclusion, cultiver intentionnellement un mindset de développement revient à cultiver en soi un jardin rare et inestimable. Il s’agit de faire des choix délibérés – reconnaître et apprécier le mélange unique de forces et de faiblesses, choisir un langage positif qui vous propulse vers l’avant, donner la priorité à l’acceptation de soi plutôt qu’à la validation externe, reconnaître la valeur profonde de chaque étape du voyage et se concentrer sur les résultats plutôt que sur la vitesse éphémère.

Ce voyage intentionnel ne concerne pas seulement le développement personnel ; il s’agit de créer un état d’esprit qui façonne toutes les facettes de ta vie. C’est la boussole qui te guide à travers les défis, la lentille à travers laquelle tu vois le succès et l’ancre qui t’enracine dans un cycle continu d’apprentissage et de croissance. L’état d’esprit de croissance intentionnelle devient ton allié dans la poursuite d’une vie épanouissante et motivée – où les défis sont relevés, la conscience de soi encouragée et le voyage lui-même devient la destination ultime.

Alors, choisis l’intentionnalité. Il est temps de cultiver un état d’esprit qui te permet non seulement d’atteindre tes objectifs, mais aussi d’enrichir l’essence même de ton être. Après tout, il ne s’agit pas seulement de ce que nous atteignons ; il s’agit de ce que nous devenons tout au long du chemin intentionnel de la croissance.